Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Planète plume

Planète plume
Publicité
Planète plume
Derniers commentaires
Archives
1 août 2007

ANTIBIOTIQUES

Les Antibiotiques

Les antibiotiques sont des molécules synthétisées à partir de peptides antimicrobiens. Ceux-ci ont un but de s’attaquer aux membranes des bactéries. Ce phénomène s’appelle la lyse…

Nous savons depuis un certain temps déjà, que l’apport de renforts immunitaires à l’organisme diminue la production de cellules immunitaires naturelles. Et ce étant fortement risqué pour la survie de l’espèce au vu de des mutations rapides des bactéries.

Mais l’essentiel du problème n’est pas là !

En effet, plus récemment, nous nous sommes rendus compte que ces bactéries tentaient de nous imiter ! Elles essayent d’utiliser le même fonctionnement que nos cellules immunitaires pour lyser, tout en renforçant leurs membranes pour contrer nos attaques.

Voici un réel danger pour notre espèce puisque nous mutons beaucoup plus lentement. Et notre organisme à tendance à s’affaiblir à cause de la dépendance chimique que nous nous imposons.

Quand on nous dit que les antibiotiques ne sont pas automatiques, il vaut mieux nous y fier !

                                              image033_1_

Publicité
Publicité
1 août 2007

MEMOIRE PRIMITIVE

images_59_  Mémoire

       Primitive

Une espèce de crabes terrestres loge dans les forêts tropicales. Ils effectuent chaque année, une migration de  quelques milliers d’individus à la période de reproduction. Une carpette immense de crabes quitte la forêt pour rejoindre la plage. Les mâles attendent tandis que les femelles vont pondrent leurs œufs. Une étrangeté les poussent à pondre dans l’eau alors que celles-ci ne savent pas nager. Plusieurs centaines d’individus en meurent à chaque ponte. Lorsque les œufs éclosent, les nouveau-nés doivent lutter pour sortir de l’eau, traverser la plage et rejoindre leurs parents dans leur milieu naturel de vie, la forêt…

Comme la proposé un reportage télévisé diffusé en février 2003, on peut se demander pourquoi une espèce, aujourd’hui terrestre, continue t’elle à pondre dans l’eau ! Nous savons que les ancêtres des crabes terrestres vivaient dans l’eau, puisque de toute façon, nous sortons tous des océans. Il s’agit donc d’une mémoire primitive commune à l’espèce. Alors on peut se demander par quel biais et dans quel but ces crabes terrestres ont-ils garder cette habitude meurtrière.

                         

                                                             images_79_

1 août 2007

EXUVIE DE BALEINE

images_63_   Exuvie de

                baleine

La mue, dans le vocabulaire français depuis le XII s, concerne bien des animaux ! Nous savons que les reptiles, entre autre les serpents, se frottent sur les surfaces dures pour faire glisser leur peau morte le long du corps jusqu’au bout de la queue. Nous retrouvons plus souvent que nous le voudrions des mues d’arachnides abandonnées sur leur toile. Les insectes, les crustacés, les arthropodes en général muent également. Et nous muons…

Ces muent proviennent de la régénérescence des cellules de l’épiderme en surface ; Un changement de carapaces, de poils ou encore de plumage… Rien de surprenant jusque là…

Mais pourriez-vous imaginer une baleine se frotter au fond des eaux pour ôter une mue ? Effectivement, une espèce de béluga appelée Baleine Canari à cause à son chant riche en sons variés, mue lors de la migration annuelle dans les eaux tempérées. Une gigantesque peau craquée se retrouve alors abandonnée aux fonds des eaux…

Epoustouflant non ? !                       images_57_

1 août 2007

Une sucette qui tue !

images_58_    Une sucette

             qui tue !

Les parasites ont différents modes d’action. En voilà un très efficace...

La loméchuse, du nom d’une célèbre empoisonneuse de la cour de Néron, est un staphylin ; Un coléoptère particulier dont l’abdomen est dépourvu d’élytres et recouvert de touffes de poils sécréteurs. Elle est un des plus importants prédateurs des fourmilières. Son mode d’intégration dans les cités est simple. Elle sécrète une liqueur à laquelle aucune fourmi ne peut résister. En présentant son abdomen, le parasite n’est pas expulsé de la fourmilière. Il peut ainsi pondre ses œufs sur le couvain dont s’occupent les ouvrières. Celles-ci ne feront pas la distinction entre les deux sortes d’œufs. Les larves de loméchuse pourront se nourrir des larves des myrmécéennes.

Peu à peu, la fourmilière s’éteint, intoxiquée par cette liqueur délectable mais mortelle, car les ouvrières trop avides, en oublient leur propre reine qui cessera de pondre, affamée par ses filles…

La Loméchuse a un nouvel habitat pour fonder sa cité !

                                          images_55_

1 août 2007

MUE DE CERF

Mue de cerf

La mue chez un cerf se fait en quatre ou cinq mois.

Les poils qui recouvrent les bois sèchent. Le cerf frotte ses bois pour se débarrasser des lambeaux. Les bois vont finir par sécher aussi et vont finir par tomber.

Ce phénomène, si anodin soit-il, n’a rien de bénin pour ces cervidés. La perte des bois représente une perte de pouvoir au sein du groupe de mâles. Une nouvelle hiérarchie s’instaure à chaque début de période de mue. Les plus tardifs deviennent dominants, et le dominant peut devenir le dominé. Pourtant, s’il n’est pas rare de voir s’isoler du groupe, un cerf saignant encore au fanion, c’est parce qu’il y a toujours un revers de médaille aux meilleures choses. En effet, la repousse des bois se fait en un laps de temps similaire à celui de la mue, et il faut comprendre que le dernier démuni sera très probablement le premier à retrouver ses défenses et devient dominant…

images_57_

Publicité
Publicité
1 août 2007

SUICIDE DE GRENOUILLE

images_42_  Suicide de

         grenouille

Dans les reliefs du Nord du Canada, les conditions climatiques rendent la vie très difficile.

Contre cinq mois d’été, pendant lesquels les températures sont clémentes et favorables au développement du monde végétal et animal, sept mois d’hiver plongent ce monde sous d’épaisses couches de glace et de neige. Chaque espèce a su s’adapter à ces conditions climatiques de façon très souvent spectaculaire. En effet, il n’est pas évident d’imaginer la vie dans un froid glacial. La plus spectaculaire adaptation connue est celle d’une espèce particulière de grenouille. En effet, plutôt que de quitter ses montagnes et ses ruisseaux de prédilection en hivers, elle se laisse congeler entièrement, jusqu’à ce que son cœur s’arrête de battre. Elle meurt !

L’alchimie s’opère lorsque les températures plus clémentes activent les molécules de glucose fixées aux cellules de l’animal. En libérant de l’énergie, une impulsion électrique réanime le cœur. La grenouille ressuscite, et ce chaque été, pouvant ainsi profiter seule, dès le début des fontes des neiges, des petits ruisseaux de son choix…

                                           images_42_

1 août 2007

LE GOBIE MARCHEUR

Image42_1_           Le Gobie Marcheur

On trouve le gobie marcheur sur les plages de Guinée. En le voyant, on a tendance à se demander si l’on ne serait pas en train d’assister à une adaptation au milieu terrestre primitive et peu évoluée. En effet, le Gobie est un poisson qui n’aime pas beaucoup l’eau. Il se déplace sur ses deux nageoires pectorales, et parcourt les plages. Sa vitesse de pointe à la course est remarquable.

Le Gobie se nourrit entre autre de mouches, qu’il va gober sur les basses branches des arbres. Un poisson qui grimpe aux arbres ! Epoustouflant ! Non ?

Mais le plus étrange, en fait, c’est qu’on aurait tendance à vouloir croire que cette façon de se déplacer, sur les nageoires pectorales, vient de ce qui a précédé l’apparition de pattes chez les espèces aquatiques devenues terrestres. Mais ce poisson n’est pas une espèce ancienne en voie de disparition, un fossile vivant, bien au contraire ! Il appartient à une grande famille récente de poissons, les téléostéens. Qui plus est, c’est une famille très éloignée de l’embranchement des batraciens. Si les grenouilles sont le résultat de l’évolution d’une espèce aquatique ayant quitté le milieu des eaux pour le milieu terrestre, une des plus récente sortie des eaux des espèces vivantes, ce poisson là n’a rien à voir avec une future grenouille (Je parle ici en termes de centaines, voire de milliers d’années).

Alors, si l’évolution ne tente pas de faire une grenouille, qu’essaye t-elle de faire à partir d’un poisson qui grimpe aux arbres ?

                               

                               chaudarw_1_  Merci M. Bernard Werber

1 août 2007

LE THON ROUGE

images_33_ LE THON

          ROUGE    

On trouve cette espèce dans les mers. De la mer baltique baignant les îles de Croatie, à la mer du Japon, on en trouve en nombre de plus en plus réduit. En effet,  la chair de ce thon est des plus prisée, et les sushi au thon rouge sont incontestablement les plus convoités…

Il existe des fermes marines qui gavent les thons rouges aux anchois et aux sardines pour le commerce, ne respectant aucune loi bien fondée de la nature.

Ils sont déjà en nombre si peu élevé que cette rareté se compte à deux mille cinq cent euros les deux kilos.

A l’âge de six mois, un thon rouge peut déjà peser six cent kilos et mesurer jusqu’à trois mètres de long. C’est énorme ! D’autant plus qu’il a la particularité d’être serein et peu impressionnable.

Ils se pêchent à la carabine tant il est facile de s’en approcher…

Il semble que d’ici peu, le plus gros poisson des mers va disparaître sous nos yeux, et ce, grâce à nous !

Dommage, j’aurai bien vu une mer remplie de ces poissons sympas, mais il faut croire que les Hommes ne réfléchissent qu’avec leur estomac ! Trop compliqué d’agir avec un cerveau bien fait que d’écouter son nombril trembler !

images_39_             images_30_

6 juillet 2007

RONDS DE SORCIERES

SORCIERES                        

    RONDS DE SORCIERES


Au XIII°s, le mot "sorcererie" apparait dans les mots d'usage. Dès lors, tout un tas de légendes ont parcourrut les campagnes à travers le temps jusqu'à nos jours.

Qui 'a jamais antendu parler des "Ronds de Sorcières", ces lieux parfois entretenus pendant des siècles, traverssant le temps et les générations, au mmilieeeu d'un bois ou au coeur d'une vaste plaine. La légende dit que des sorcières s'y  réunissaient pour le Sabbat !

Il faudra attendre le XVI°s pour que l'orithologie voie le jour. E effet, elle va permettre de découvrir que certains oiseaux mâles dansent à la période des amours pour séduire les femelles. Ils défrichent et ôtent les pierres ecombratessur une surface circulaire, format un disque à l'intérieur duquel ils dansent à en perdre haleine. Ces aires de séduction sont réutilisées chaque années.

20 juin 2007

Bienvenus chez moi ...

Je souhaite la bienvenue à tous les lecteurs qui auraient envie de lire quelques articles malmenés mais originaux, amateurs sans aucun doute, délirants très certainement...

Je vais tenir à jour ce blog en rajoutant régulièrement des écrits pour l'enrichir. N'hésitez pas à me communiquer vos humeurs, vos appréciations, je les prendrais avec respects et parcimonie ...

A très bientôt !

Publicité
Publicité
Publicité